Denizli est une ville vivante, plutôt moderne et surtout très bien connectée. Il y a une gare, une gare routière, un aéroport à une trentaine de minutes et des stations bus ou trains en provenance des grandes villes comme Istanbul, Izmir, Ankara ou Selçuk. Si vous avez prévu d’aller à Pamukkale, c’est par ici que tout commence.
Ce n’est qu’à une vingtaine de kilomètres, une distance qui se parcourt rapidement, peu importe le moyen choisi.
Résumé
🚐 En dolmuş – simple & économique
– Départ à l’Otogar de Denizli (quai 76, bien indiqué)
– Fréquence : toutes les 15–20 min (plus en haute saison)
– Durée : ~20 min
– Prix : ≤ 50 TL (~1 €), paiement direct au chauffeur
– Arrivée : centre de Pamukkale, à côté de l’entrée du site
– Idéal solo, couple, famille
🚖 En taxi – rapide & confortable
– Départ à l’heure voulue, dépose à l’endroit exact
– Durée : ~15–20 min selon circulation
– Prix : 500–600 TL (~12 €), négociable
– Pratique avec bagages ou en famille
– Possibilité d’arrêts photo en chemin
🚗 En voiture de location – liberté totale
– Agences : aéroport, gare, centre-ville
– Route : D320 via le tunnel de Honaz, paysages montagneux
– Durée : ~20 min (légers ralentissements à l’entrée du village)
– Prix : dès 25 €/jour + essence abordable
– Parfait pour combiner Pamukkale avec Laodicée, Hierapolis, Karahayıt
En dolmuş : pour un max de simplicité
Pour faire simple et pas cher, le dolmuş est imbattable. Ces petits minibus sont un classique en Turquie. Ils roulent souvent, ils ne coûtent presque rien et ils sont parfaitement adaptés aux trajets comme celui-là.
Il suffit d’aller à l’Otogar, la grande gare routière de Denizli. Les dolmuş qui partent pour Pamukkale se prennent en bas, au quai 76. C’est bien indiqué, vous ne pouvez pas vous tromper. Les départs s’enchaînent toutes les 15 à 20 minutes dans la journée, un peu moins en soirée. Quand la saison touristique bat son plein, ça tourne encore plus vite.
Le trajet dure une vingtaine de minutes et le billet ne dépasse pas 50 TL, soit à peine 1 euro. On paie directement au chauffeur, en liquide. À l’arrivée, vous serez déposés en plein centre du village de Pamukkale, tout près de l’entrée du site. Pas besoin de changer de bus ou de marcher longtemps.
C’est une option parfaite si vous voyagez seul, en couple ou en famille. Simple, rapide, sans surprise !
En taxi : pour gagner du temps
Si vous avez envie de confort, ou que vous ne voulez pas attendre le prochain minibus, le taxi fait très bien l’affaire. Vous montez quand vous voulez, vous êtes déposés pile où vous le demandez et le trajet est encore plus rapide, en fonction de l’heure, bien sûr.
Côté prix, il faut compter entre 500 et 600 TL, ce qui revient à une douzaine d’euros. Le tarif peut varier selon l’endroit où vous le prenez (la gare, l’Otogar ou le centre), et si vous tombez sur un chauffeur ouvert à la négociation. Avec un peu de chance, il pourra même vous proposer un petit arrêt photo en chemin.
C’est un bon choix si vous avez pas mal de bagages ou si vous êtes en famille.
En voiture de location : pour profiter du coin à votre rythme
Louer une voiture à Denizli, c’est la liberté de tracer votre route comme bon vous semble. Il y a des agences un peu partout (à l’aéroport, près de la gare, ou directement en ville). Si vous prévoyez d’explorer un peu plus loin, comme Laodicée, Hierapolis ou Karahayıt, c’est clairement une bonne idée.
La route pour Pamukkale est facile à suivre. C’est la D320, refaite récemment, notamment avec le nouveau tunnel de Honaz. On traverse des paysages calmes, avec parfois une jolie vue sur les montagnes au loin.
Le trajet prend environ 20 minutes, sauf peut-être à l’approche du village où ça peut ralentir un peu. Côté budget, on trouve des petites voitures autour de 25 euros par jour, et l’essence reste assez accessible. L’intérêt, c’est surtout de pouvoir improviser, faire un détour, s’arrêter où vous voulez, sans dépendre des horaires.
Idéal si vous avez envie d’explorer plus large, ou juste de rouler tranquille.